Le sujet de cet article me tient particulièrement à cœur, car c’est un grand débat !
Décider de parler de ses projets…ou pas, peut avoir un réel impact sur nous, sur l’aboutissement ou la bonne poursuite de ces projets en question et donc, sur notre accomplissement.
Oui, de ce choix, » j’en parle, j’en parle pas », peuvent découler des conséquences positives ou négatives significatives !
Il me semble donc important de poser tout ça à plat pour que tu puisses ensuite faire des choix stratégiques, en pleine connaissance de cause.
Tout d’abord, de quels projets parle-t-on ?
Si tu es de nature rêveuse, (comme moi) bien sûr qu’il ne s’agit pas de parler de toutes les idées plus ou moins farfelues qui te traversent l’esprit !
Quand je parle de projets, je parle plutôt de quelque chose qui te tient à cœur, que tu commences à avoir en tête depuis quelques temps et qui ne s’est toujours pas volatilisé.
Ce peut être des projets d’ordre perso ou pro, peu importe, du temps qu’ils commencent à avoir du sens et de l’importance pour toi.
Après t’être autorisée à t’écouter (ce qui n’est pas rien !), à accepter qu’il y avait finalement pas mal d’enjeux derrière ce projet, arrive assez vite la question de : J’en fais quoi ? J’en parle, j’en parle pas ?
Cette question surgit avant même de passer à l’action, de faire les premières démarches pour concrétiser ce fameux projet…. Ça te dit quelque chose ?
>>> C’est là que des pensées viennent se bousculer dans ton esprit :
« Est-ce que j’attends, je laisse traîner encore un peu pour être encore plus sûre de ce projet ? »
« Mais si j’en parle, je vais être obligée de me m’y atteler ? »
« Et si ça n’aboutit pas, j’aurais l’air de quoi ? »
« C’est encore trop flou dans ma tête, si j’en parle, c’est sûr, on ne va pas me prendre au sérieux… »
« Si j’en parle, je vais m’emballer et en cas d’échec, être déçue et perdre en confiance en moi… »
« Je ne veux pas inquiéter mes proches avec mon projet atypique «
« On ne va pas me soutenir de toute façon, ça ne sert à rien ! »
>>> Tous ces doutes, je les ai entendus, je les ai parfois aussi et je suis sûre que c’est pareil pour toi. Alors passons-les au crible un-à-un :
1/ Est-ce que j’attends ?
Comme je l’évoquais plus haut, on parle bien de projets que tu as en tête depuis déjà un petit bout de temps et qui commencent à prendre de la place dans ton esprit.
Tu peux donc te poser les questions suivantes : Le fait de vouloir attendre pour en parler, n’est-ce pas une façon de « refouler » ce projet ? De ne pas l’officialiser car finalement, tu te complais dans cette réflexion et tu n’as pas tellement envie d’agir ? De reculer l’échéance par peur du bon déroulement de celui-ci ? Est-ce que simplement, tu aimes procrastiner ?
Si à ces questions, tu ne te trouves pas de « fausses » réponses ou excuses, effectivement, tu seras en droit de te demander si finalement, tu n’as pas besoin d’éclaircir un peu plus le fondement et la visée de ton projet…
2/ Si j’en parle, je vais être obligée de m’y atteler !
Eh oui ! Si tu veux garder la face, une fois que tu en auras parlé, il vaudrait mieux que ce soit suivi de concret… Non ?
À un moment donné, il faut savoir ce que l’on veut : garder ses idées pour soi et attendre leur date de péremption OU, si elles valent le coup, les concrétiser ?
Garder tes projets pour toi peut représenter un certain confort. Au chaud, dans ta tête, ils ne risquent rien… (sauf peut-être de s’enfuir par ennui !)
À moins qu’ils ne soient destinés qu’à toi seule, il va tout de même falloir un jour confronter tes idées au regard des autres, les exposer et surtout les annoncer pour qu’elles puissent voir le jour.
Si tu as tendance à procrastiner, justement, en parler peut-être LA solution pour te mettre devant le fait accompli et devoir te retrousser les manches. C’est en quelque sorte un engagement. Envers les autres, en plus d’avec toi-même, si cela ne te suffit pas.
Il ne coûte que quelques mots mais il peut pourtant représenter LA première étape de ton projet.
Donc, j’y reviens : veux-tu le concrétiser ?
3/ Et si ça n’aboutit pas, j’aurais l’air de quoi ?
Ah ah, bonne question ! Ma réponse va peut-être te surprendre mais si tu as peur du jugement des autres, ne fais plus RIEN ! Quoi que… même lorsqu’on ne fait rien, on peut être pointé du doigt !
Alors comment qu’on fait ???
Tout simplement, on décide d’être l’une de ces personnes qui essayent.
Si tu veux éviter de te retrouver un jour pleine de regrets, de frustrations, qui plus est parce que le regard des gens te paralysait, alors réalise tes rêves, tes projets, sans te soucier du quand dira-t-on.
Quelque soit le succès de ce que tu entreprends, toi, tu sais que tu as essayé.
Si tu es ok avec toi-même là-dessus, c’est le principal et finalement, tu ne peux maîtriser que ça.
> Et si tu essayais, simplement en planifiant des actions concrètes dans ton emploi du temps ? Je t’offre pour cela quelques conseils et un template à imprimer pour t’organiser, par ici. <
4/ Mon projet est encore flou, on ne va pas me prendre au sérieux…
Bien sûr, avant d’en parler, il est impératif d’avoir mûri les fondements et les aboutissants de ton projet, de lui avoir fait passé plusieurs filtres (dont je parle par exemple dans mon programme en ligne), histoire de ne pas présenter quelque chose de trop bancal, de ne pas l’assumer totalement et de risquer de se décrédibiliser. C’est une évidence.
En même temps, parler d’un projet, c’est aussi lui faire passer l’un de ces filtres : si toi-même, tu n’arrives pas à te convaincre en l’exposant, c’est qu’il y a encore du travail à faire pour le clarifier. En revanche, si toi, tu es convaincue mais qu’en face, ce n’est pas le cas, il faut pouvoir l’entendre et le remettre en question, identifier ce qui bloque, pourquoi il est perçu ainsi.
Parler de ton projet, peut te pousser à travailler ton pitch, à peaufiner ton « storytelling », ce qui est indispensable pour pouvoir le présenter au mieux.
Le passage par cette étape peut être très constructif.
Quoi qu’il en soit, les projets s’affinent, se réorientent, se redéfinissent parfois au fur et à mesure. Ça s’appelle la flexibilité et l’adaptation, car on ne peut pas tout prévoir à l’état de projet et donc au stade de la théorie.
Si tu choisis d’en parler malgré tes incertitudes, sache mettre en avant le fait que tu prévois d’ajuster ton projet au fil du temps, selon sa bonne mise en œuvre, les réactions, les imprévus, les opportunités, etc.
5/ La peur de s’emballer et d’être déçue en cas d’échec
Certes, parler de tes projets, c’est quelque part s’engager et donc, prendre le risque de devoir annoncer et assumer son éventuel plantage !
Si on va par là, c’est le risque de tout projet. Pas un seul n’est garanti d’aboutir, de réussir. Pas un seul.
Mais lorsque l’un d’entre eux te tient à cœur, que tu es convaincue de son bien fondé, tu ne regretteras pas, encore une fois, d’avoir essayé.
Il est important de prendre de la distance avec le fait « d’échouer ». Selon les cultures, comme en France, l’échec peut être stigmatisant, traumatisant et faire perdre confiance en soi. Dans d’autres, comme aux États-Unis par exemple, on prend au sérieux les personnes qui sont passées par des échecs et qui ont pu en tirer des leçons, plutôt que celles qui ont réussi le peu de choses qu’elles avaient osé entreprendre. C’est le cas dans le monde de l’entrepreneuriat par exemple.
Parfois on perd, parfois on gagne, c’est la vie. Qui n’est pas soumis à cette loi ?
Savoir accueillir les échecs pour apprendre ce qu’ils ont à nous enseigner, voilà une posture constructive, qui te permettra d’avancer, quelque soit l’issue de tes projets.
[Tweet « Savoir accueillir les échecs pour apprendre ce qu’ils ont à nous enseigner »]
6/ Ne pas inquiéter ses proches avec son projet atypique
Effectivement, ce peut-être délicat… Si tu te lances dans le blogging et que tu vas expliquer ça à tes grands-parents, le choc des générations risque d’opérer ! Mais en même temps, c’est valable pour bon nombre de choses…
Si toutefois, tu as des craintes à ce sujet, j’attirerais ton attention sur un point : la confiance.
Parce que si tu as l’habitude de parler avec tes proches, si tu entretiens une bonne communication avec eux, c’est le plus important. S’ils ne comprennent pas tout de tes projets, mais qu’ils te font confiance car ils te connaissent bien, que tu es la plus transparente possible, tu réussiras à obtenir leur soutien, leur approbation.
Ce qui compte, c’est d’abord d’entretenir des rapports de confiance mutuelle. Ensuite, sache faire preuve de pédagogie, de diplomatie s’il le faut, pour exposer tes projets les plus originaux.
Si tes proches sont bienveillants à ton égard (ce que j’espère pour toi !) tu récolteras soit des encouragements, soit des remarques constructives, qu’il te faudra prendre en compte.
Mettre tes proches dans la confidence devient plus qu’impératif s’ils vont être impliqués plus ou moins directement, comme son conjoint, ses parents…
En revanche, s’il s’agit de toutes tes vieilles amies, que tu n’as pas envie d’avoir à tout expliquer à chacune d’entre elles et esquisser les éventuelles jalousies, critiques, commérages, etc, ça se discute… Ce peut être une belle surprise aussi !
7/ Peur du manque de soutien, d’être découragée
Certes, il y a des personnes qui ont le chic d’anéantir les plus beaux projets… On les appelle, les démotivateurs !Prends garde à ce type de personnes ! Souvent, ils ne font pas grand chose, à part critiquer les avancées des autres ou bien perchés sur leurs petits exploits, ils regardent tout le monde de haut, plus rien ne les impressionne et n’est aussi bien que ce qu’ils ont accompli.
Sache prendre des distances avec l’avis de ce genre de personne, que rien n’enthousiasme de toute façon.
Mais le contraire est vrai aussi, la plupart des gens qui t’entourent sont bienveillants, sinon, ils ne seraient pas auprès de toi, n’est-ce pas ? Ne pas en parler, c’est se priver du bien que peuvent faire le soutien, l’encouragement, de personnes proches.
Mais aussi, parler de tes projets à des personnes qui sont dans la même dynamique que toi, c’est l’opportunité de recueillir des conseils avisés et des remarques constructives. Par exemple, ce peut être le cas au sein d’ un réseau d’entrepreneurs, s’il s’agit d’un projet d’entreprise ou bien auprès des membres d’un club sportif, si ton projet est dans ce domaine. Tu peux aussi trouver une écoute et du soutien dans le groupe facebook, Femmes Ambitieuses ici, ou bien opter pour une ambiance plus confidentielle et plus personnalisée au sein du LAB des Ambitieuses, par là)
L’avis de ces personnes-là est précieux et je dirais même essentiel. Souvent, elles sont passées par là avant toi, elles ont une certaine expérience, des connaissances complémentaires aux tiennes et comprennent tout à fait le besoin de soutien que tu ressens. En principe, tu n’as pas de craintes à avoir quand à leurs encouragements si ton projet tient la route.
> Si tu as besoin de clarifier tes projets, de te rassurer, de débriefer, on vient souvent me voir pour ça ! N’hésite pas à faire appel à mes services ici. <
>>> Pour conclure,
Fini les fausses excuses, les prétextes pour procrastiner ! Tu sais vers qui te tourner pour obtenir soutien et encouragement, comment t’y prendre et au contraire, ce dont tu peux te passer…
Tu sais que parler de tes projets peut être très constructif, peut t’apprendre beaucoup et peut te pousser à les concrétiser, car en parler est engageant.
Une chose dont je n’ai pas parlé : les superstitions ! Elles donnent de trop bonnes excuses pour ne pas regarder les choses en face… « La poisse » c’est juste dans ta tête, la plupart du temps, tu attires à toi ce que tu projettes.
Mais aussi, balaye cette croyance que l’on pourrait te voler ton idée : je le rappelle, on se tourne de préférence vers des personnes bienveillantes. Et puis, personne plus que toi ne maîtrise ton sujet, ton projet et personne ne pourra le mener à ta façon.
Finalement, les vraies questions à se poser, pour évacuer tous ces doutes, c’est plutôt :
Crois-tu vraiment en ton projet ? Est-ce qu’il te motive ? Es-tu prête à l’assumer ?
Véronique
Merci Manon pour cet article intéressant. Il m’est arrivé de me faire voler mes idées (et même des contrats) pour en avoir parlé trop tôt aux mauvaises personnes. Depuis je me méfie un peu plus. Je parle toujours très volontiers de mes idées mais 1) en choisissant mes interlocuteurs 2) en le faisant à un moment où le projet est déjà bien avancé pour garder une longueur d’avance. Mais je continue à croire aux vertus du partage. Comme tu le dis, cela permet d’affiner son projet, d’observer les réactions, et de s’engager vis-à-vis de soi-même. Et si cela rate tant pis. Comme l’a dit Henry Ford « L’échec est seulement l’opportunité de recommencer autrement ».
Ambitions Plurielles
Merci pour ton témoignage Véronique ! Effectivement, avec le temps on apprend à « sélectionner » les personnes à qui parler de ses projets et on affine aussi comment s’y prendre.
Au plaisir d’échanger avec toi et plein de réussite dans tes projets !
Sabah
Hey !! Bravo pour ce bel article !!
Je pense que tant que le projet est éthique , qu’il tient à cœur , et qu’on fond de nous on sait qu’on est capable , je conseille 2 chose :
– La prière de consultation ( pour les musulmane )
– Avoir un plan
– Passer à l’action
– Et Surtout , savoir que c’est ALLAH qui facilite , donc s’en remettre à Lui !!
On peut planter une petite fleur , avec la bénédiction Divine , elle deviendra un jardin luxuriant 😉
Je vous soutien toutes du fon du cœur !! Investissez-vous , épanouissez-vous. Vous êtes les leaders de demain ,
Osons , on a TOUT pour réussir !!
Ambitions Plurielles
Merci pour ton message et tes encouragements Sabah ! Effectivement, une fois que l’on est sûre de son projet, il faut oser ! C’est souvent le pas le plus difficile mais qui peut en valoir tellement la peine 😉
Aines
Merci Manon pour cet article très enrichissant.
Je vais garder précieusement ces conseils qui me serviront à l’avenir!
Je t’encourage à continuer!
Ambitions Plurielles
Merci d’être passée par là Aines, plein de réussite dans tes projets et tous mes encouragements également ! Au plaisir !
Aline - Inspiré & Créé
En général, j’attends comme tu dis, de voir « la ligne rouge » de mes projets avant d’en parler et souvent il est accueilli de manière positive avec enthousiasme et encouragement!
Mais je me rappelle d’une fois où j’en avais parlé à un ami, il soutenait mon projet, néanmoins il me racontait ce qu’aurait dit une personne sceptique concernant mon projet et ça m’a bien démotivé pendant des mois avant que j’ai re-eu le coeur de reprendre mon projet en main! Aujourd’hui, heureusement, il m’encourage et ne parle plus de ce que penserait les sceptiques!
Ambitions Plurielles
Merci pour ton témoignage Aline ! Effectivement, l’un des préalables, avant de parler de ses projets est de l’avoir bien peaufiné pour éviter d’être déstabilisée en cas de critiques… En tout cas, ce sont des expériences dont il faut savoir tirer les leçons !
Contente de savoir que désormais, tu es encouragée et soutenue.
Plein de bonnes choses à toi pour mener à bien tes projets 🙂
Au plaisir !
Magali
Très intéressant. Cet article me parle beaucoup car je viens de publier sur mon blog un article dans lequel j’indique que j’ai un projet en rapport avec ma passion et les heures qui ont suivi j’ai pas mal stressé car cela devenait un peu plus concret, comme si je venais de prendre un engagement. Je l’ai faut aussi pour ça, que cela ne finisse pas au rayon des « On verra ça plus tard » et me mettre un peu la pression.
Mais aussi pour trouver du soutien car autour de moi très peu de monde partage ma passion (même si personne ne me décourage d’essayer d’en vivre tant que je ne laisse pas mon travail actuel) et parfois je me sens un peu isolée, quand j’ai besoin d’avis je n’ai pas trop de retours donc ce sera un moyen de rester motivée! Enfin, j’espère!
Ambitions Plurielles
Oui, comme tu le constates, parler de son projet, c’est déjà en quelque sorte, s’engager et passer à l’action. Et puis en fonction des personnes à qui tu l’annonces, tu peux espérer recevoir des encouragements, ou du moins, de la compréhension et ça, ça fait du bien ! Tu sais aussi que tu peux venir parler de tout ça dans le groupe privée facebook ici : https://www.facebook.com/groups/AmbitionsPlurielles/ où l’on se sert les coudes entres femmes ambitieuses, parfois un peu en décalage avec les parcours pro standards 😉
Au plaisir et merci pour ta visite et pour ton témoignage !
Manon
Julie
Bonjour,
J’ai lu un article très intéressant d’une chercheuse américaine qui explique que si l’on parle de ses projets, on a déjà moins envie de les réaliser. Car lorsqu’on en parle, on ressent déjà un sentiment d’accomplissement et de ce fait, on a tendance à ‘se contenter’ de ça. D’après ses études, les personnes qui ne parlent pas de leurs projets sont ceux qui connaissent le moins d’échecs.
Moi, justement, je parle trop et trop vite ! Mais je travaille dessus 😉
Ambitions Plurielles
Bonjour Julie, Merci, c’est intéressant d’avoir différents points de vue, pourrais-tu nous indiquer le lien de cet article ? En effet, je conçois totalement que pour certaines personnes, ça puisse se passer comme ça. Après, ma politique c’est aussi que l’échec, c’est de l’expérience et ce n’est pas grave ! Ne pas attendre que tout soit déjà fait ou parfait pour officialiser et nommer ce que l’on projette de faire, je pense que c’est mieux… Mais je me base sur ma propre expérience, sur celle des femmes que j’accompagne et que je côtoie et le débat est ouvert bien sûr ! Cela permet de croiser différents modes de fonctionnement et c’est chouette ! Donc n’hésites pas à partager cette étude que tu as lue, au plaisir Julie !
Manon
NINI nini
Bonjour Marion !
C’est un super article, j’ai lu et compris exactement ce que mon intuition me dicte.
J’ai par moments des doutes, lorsque je parle à plusieures amies sur quelques jours d’affilés.. Une fois avoir fait la tourner des nouvelles ou on papote pendant des heures (car j’habite à distance d’eux).. Je me dis mince t’aurai peut être pas dut parler de ce projet ainsi que de celui-ci… Alors que ceux sont de très bons amis, on s’estime, s’Aime beaucoup, on est bienveillant et on a plaisir fou à discuter et refaire le monde.. Bref des discussions de plus en plus belles, constructives, élévatrices..
Donc parfois je me dis t’es bête de penser que t’aurai pas dut en parler car en finalité ça sort naturellement et réciproquement, ils sont dans la confidences..
Je pense qu’au fond c’est juste la peur de déverser des frustrations,.. Et bêtement de se dire à trop parler ça n’aboutira pas, tu fais des envieux ou jaloux indirectement! J’ai tellement était déçu par et vu des déceptions autour de moi.. Mais en tout cas je travaille dessus pour m’oter ces idées.. Et surtout je continue sans le partage et la confidence
Merci beaucoup!!
Karine